Dans mon histoire précédente, vous avez pu lire comment, étant jeune fille, je m’intéressais déjà beaucoup à l’anatomie masculine et comment j’ai découvert que je pouvais la manipuler localement.
Mon premier orgasme m’avait fait tomber de mes chaussettes. La nuit avait été étouffante. Qu’est-ce que c’était ? Au moment où je me suis réveillé, les autres étaient debout depuis un certain temps. En sueur, j’ai rampé hors de la tente et me suis frotté les yeux. “Ça va, chérie ?” me demandait ma mère. “Tu as dormi plutôt agité cette nuit, a-t-on dit”.
Une nuit agitée
Et si j’avais été agité. Les événements de la veille m’avaient tellement excité que j’avais l’impression que mon sang bouillait. Ma tête avait tourbillonné toute la soirée et ma chatte semblait avoir son propre rythme cardiaque, c’est dire à quel point elle battait fort. J’avais rampé dans ma tente tôt pour me caresser, mais j’ai dû attendre longtemps avant que mes parents et mon frère ne rampent et dorment dans la leur avant de pouvoir me laisser aller complètement.
Je suis resté allongé pendant des heures à me laisser aller à penser au grand sifflet du voisin. J’ai fermé les yeux et j’ai vu la belle bite devant mes yeux. Je pouvais me souvenir en détail de l’épais gland violet et de toutes les veines gonflées. Que faisait-il dans la caravane ? Qu’il m’avait observé, je le savais, mais s’était-il aussi caressé, tout comme moi ? Les hommes se caressaient-ils comme nous ? Ou alors, qu’en est-il ?
Jouer avec ma chatte
Pendant ce temps, je caressais doucement les pattes de ma chatte chauve. Parfois de longs et grands cercles, avec un doigt, qui caressait alors de temps en temps mon enchevêtrement, puis de nouveau de toute ma main sur ma chatte. À l’époque, je ne savais pas qu’on pouvait aussi mettre ses doigts à l’intérieur, sinon j’aurais fait de même.
J’ai poussé doucement mon majeur entre mes lèvres jusqu’à ce que je ne puisse plus aller plus loin et c’était génial mais ma petite peau m’empêchait d’entrer vraiment. Je n’ai pas encore réussi, j’étais encore trop serré pour cela. Je caressais mon corps et mes mamelons (comme ils étaient sensibles tout d’un coup), je me tortillais de plaisir, je devenais complètement folle d’excitation et je ne savais pas comment ce sentiment allait disparaître.
Après que mes parents se soient endormis et que je les ai entendus ronfler bruyamment à cause du vin croate bon marché, j’ai dû arrêter de me retenir et passer deux vitesses. Il n’a pas fallu longtemps pour que je finisse. Mon premier orgasme. Le premier d’une longue série.
Il a fallu quelques minutes pour que je retrouve mes bonnes habitudes. Je respirais encore fort et lourdement et j’ai goûté le goût du sang et j’ai senti que je m’étais mordu la lèvre pour étouffer mes cris. Mon corps entier était couvert de chair de poule alors qu’il faisait encore au moins 20 degrés dehors. Mes bras et mes jambes tremblaient doucement, ma tête devenait légère. Je me suis endormi comme un bébé.